Si vous vous êtes lancé dans des travaux de construction ou de rénovation, arrive plus ou moins vite la question du plafonnage. Le plafonnage constitue une grosse étape dans la construction (ou rénovation) d’une maison. En effet, il permet de donner à son intérieur un nouveau visage et un look plaisant. Cette étape nécessite alors la prise en compte de plusieurs éléments.
Choisir le professionnel
Pour assurer la réussite de vos travaux de plafonnage, il est conseillé de faire appel à un professionnel. Il faut éviter de sous-estimer le travail du plafonneur. Vous devez donc bien choisir votre professionnel, car de lui dépendra la qualité du rendu. En effet, le plafonnage et surtout les travaux de plafonnage en rénovation exigent un savoir-faire et de l’expérience. Ce n’est pas en principe pas à la portée des bricoleurs. Afin de choisir le bon plafonneur, vous pouvez demander des références, par exemple.
Préparer le budget
Le prix de ce type de travaux dépend de plusieurs éléments. Mais il est souvent basé sur un prix au mètre carré. La préparation du budget est un élément à prendre en considération dans des travaux de plafonnage. Ainsi, pour en savoir davantage, il est préférable d’entrer en contact avec le professionnel que vous aurez choisir. En lui développant votre projet, vous pourrez en savoir plus sur les détails et le coût de celui-ci. Une demande de devis est très recommandée dans ce genre de travaux.
Bien traiter son support
Pour qu’un support soit bien plafonné, il faut qu’il soit propre, sec, homogène, stable et suffisamment absorbant. Cependant, il arrive que certaines surfaces ne présentent pas toutes ces caractéristiques. Un traitement préalable du support est alors nécessaire pour permettre son enduisage. Pour ce traitement, des produits appelés « apprêt » ou « primer » sont utilisés. Ils permettent de modifier, d’améliorer ou de combler certaines propriétés manquantes au support. Pour choisir cet élément, il faut répondre à 3 questions fondamentales :
- Quelle est la nature du support ? (Absorbant ou non, dense, friable, minéral, synthétique, etc.)
- Quelle est la nature du produit à mettre en œuvre par-dessus ? (Enduit de ciment, enduit de plâtre, peinture, enduit mince, synthétique, etc.)
- Quel rôle occupe le primer ? (Accrocheur, fixateur, régulateur d’absorption, etc.)
Les experts de l’entreprise Paradoxe rénovation est en mesure de vous aider et de vous conseiller si vous avez du mal à vous retrouver parmi ses détails.
Enduit monocouche ou multicouche
Il existe deux types d’enduit : l’enduit monocouche et l’enduit multicouche.
Les enduits monocouches sont majoritairement utilisés pour les murs ou les plafonds neufs, c’est-à-dire les nouvelles constructions. Le mortier est prêt à gâcher et il s’applique en une seule fois comme son nom l’indique.
Les enduits multicouches, quant à eux, peuvent se répandre en 2 ou 3 couches. Ils sont composés de gobetis pour assurer l’accroche, de sous enduit pour assurer à la fois l’uniformisation et la protection de façade, d’enduit de parement ou enduit de finition pour la touche décoration. Dans quelques cas, on peut superposer les différentes couches les unes après les autres sans obligation d’attente avec un enduit multicouche. Cependant, dans d’autres cas, il faut attendre que la première couche sèche entièrement avant d’en mettre une seconde, voire une troisième.